“Les collectivités territoriales commencent à se rendre compte qu’il est capital pour elles d’investir leur page Facebook et de la rendre active”, pointe Jean-Pascal Szelerski. Selon le baromètre de l’institut Edgar Quinet (ndlr : cet institut met à la diposition des élus les analyses actualisées et les outils de conduite projet pour de l’action locale).
Dans les faits :
Les pages dites “mortes”, c’est-à-dire non actualisées régulièrement,
sont passées de 5 % en novembre 2012
à 3 % un mois plus tard.
Les collectivités prennent peu à peu conscience qu’il n’y a rien de pire que de confier à un stagiaire le soin de créer une page Facebook, de commencer à l’animer et…
de l’abandonner après son départ.
Quelques collectivités sont à la pointe, à l’image de la mairie de Paris, qui a investi les réseaux sociaux dès 2009. Recrutée en février 2012 en tant que community manager, Noémie Buffault est ainsi systématiquement convoquée aux réunions consacrées aux grands projets de la ville. “Je connais l’ensemble des interlocuteurs au sein de la mairie. Outre les conseils que je leur prodigue dans l’élaboration de leur politique de communication 2.0, je sais aussi leur faire remonter des informations quasiment en temps réel”, confie-t-elle.
via Les collectivités soignent leur profil Facebook – Acteurs publics –