[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]L’ISF-PME a permis à un certain nombre de redevables de devenir business angel et c’est une bonne chose. Il semble cependant que l’élan créé soit, pour ce qui concerne le secteur Internet en tous cas, maintenant en recul. On pourrait sans doute faciliter ou élargir ce dispositif quand les sociétés concernées sont de jeunes sociétés.
« Quitter le pays ou acheter des oeuvres d’art ne devraient pas être les seules options recommandées par les fiscalistes ! », Jean-David Chamboredon
De façon plus générale et sans parler de crédit d’impôt, la fiscalité ISF est beaucoup trop compliquée et illisible et il est anormal qu’un investisseur paie de l’ISF sur son investissement dans une start-up alors que la volatilité de cet « actif » est maximale et sa liquidité nulle. Comme dit le proverbe « dans le doute, abstiens-toi » et c’est sans doute ce que font de nombreux investisseurs potentiels… Quitter le pays ou acheter des oeuvres d’art ne devraient pas être les seules options recommandées par les fiscalistes !
Il faut que France « chouchoute » ses « serial entrepreneurs-investisseurs », car ils sont rares et peuvent être décisifs dans la capacité de rebond du pays. Le discours général à leur encontre est certes aujourd’hui beaucoup plus positif qu’il y a deux ans, mais il reste visiblement encore beaucoup à faire…
http://frenchweb.fr/business-angels-baisse-de-25-des-levees-de-fonds-dans-linternet-francais-en-2014/181538[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]