Les membres de gangs utilisent beaucoup les réseaux sociaux, en particulier Facebook et Twitter. Ils y publient des photographies, vidéos, chansons et textes qui répondent à divers objectifs : promotion d’une sous-culture criminelle, stratégie de terreur vis-à-vis des gangs adverses, menaces adressées à la police, tentatives d’influer sur les populations locales, etc. Ces données accessibles sur Internet n’échappent pas aux forces de sécurité qui utilisent désormais des logiciels innovants pour lutter contre la criminalité.
de Daniel Ventre
http://www.ifri.org/sites/default/files/atoms/files/fs60ventre.pdf
Via Laurent Bloch